Ma It liste des bons plans shopping et des sorties à Marrakech, part’8 : la médina

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Déjà 5 mois que « le Guide des Gazelles à Marrakech » paru aux éditions Privat est sorti dans tous les pays francophones et au Maroc. A la lecture des nombreux messages et commentaires positifs que je reçois de mes lectrices, je suis heureuse du résultat. Le guide tient toutes ses promesses : à savoir mettre dans la confidence des femmes seules, voyageant entre copines ou avec leur moitié, qui ont envie de découvrir ou de redécouvrir le meilleur de la ville rouge.

Le principe ? Qu’avec ce guide, elles aient l’impression d’être accueillies par une amie sur place qui leur donnerait les meilleurs plans pour réussir leur séjour. Je voulais ce livre différent de ce qui existe sur le marché. Apparemment, il relève le défi puisqu’il a même été longuement placé numéro 1 des ventes des guides sur Marrakech sur Amazon. Un grand merci à tous ceux et celles qui l’ont déjà acheté et pour les autres, sachez que vous pouvez l’acquérir là.

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L’actualité économique morose et le contexte sécuritaire tendu, notamment dans les pays arabes à forte vocation touristique comme le Maroc, a, c’est un fait indéniable, nettement fait reculer la fréquentation des touristes francophones à Marrakech.

Le gouvernement français sur son site, continue pourtant à l’écrire : « le Maroc reste un pays sûr où le tourisme peut se pratiquer sans difficulté. »

Depuis plusieurs mois, la ville est économiquement sous tension, ce qui oblige les commerçants et hôteliers à redoubler d’imagination et à se concentrer sur une offre hautement qualitative.

Pourtant, jamais il n’a été aussi agréable de se rendre au Maroc et notamment à Marrakech. Alors, si vous êtes en quête de chaleur, d’exotisme et de glamour, n’hésitez plus et laissez vous tenter par la capitale culturelle du Maroc.

C’est donc le moment idéal de vous présenter quelques établissements qui ne sont pas dans « le Guide des Gazelles à Marrakech » et que j’ai pu tester car oui, tout ne s’arrête pas au livre et je poursuis mon objectif premier : à savoir continuer à vous présenter toutes les nouveautés et l’actualité de la ville ocre notamment, au travers de ce blog.

Découvrir la Médina :

SE RESTAURER à « Un déjeuner à Marrakech »

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Situé dans la médina au croisement entre la rue Riad Zitoun el Jdid et la rue Douar Graoua (entre la place Jemaa El Fna et le Mellah), la jolie façade d’«Un déjeuner à Marrakech » ne laisse rien présumer de la taille du lieu. Restaurant et salon de thé totalement rénové en 2014 et ouvert 7 jours sur 7, l’endroit est devenu une table de référence de la vieille ville où il fait bon venir déjeuner et dîner à la lueur des bougies. Le restaurant, dont j’aime la décoration soignée, cosy (signée Lup 31) et dans le lequel on perçoit la touche toute féminine de ses chaleureuses propriétaires, s’articule autour d’une salle en rez-de-chaussée, d’une seconde au premier étage et de sa terrasse sur le toit dont vous aurez bien du mal à repartir.

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Que dire de la cuisine proposée ? Tout y est succulent : tant les plats français aux accents méditerranéens que les plats marocains revisités qui tiennent toute leur promesse. Vous voici prévenu(e)s, à la lecture de la carte, vous aurez envie de tout tester à commencer pourquoi pas, par ses « Bouchées du Maghreb »,

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puis son « Gigot d’agneau cuit à basse température et au jus infusé à l’anis étoilé, pointe de gingembre frais et sa purée de courge à l’orange » ou ses « Crevettes tangeroises snackées et servies sur M’hamsa au safran et sa crème de mascarpone».

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Les végétariens trouveront également leur bonheur, les pressés une carte de snacking et que dire des gourmands car on salive rien qu’à parcourir la carte des desserts. Côté budget, comptez de 60 à 90 dirhams pour une entrée, 120 à 140 dirhams pour un plat et 40 à 60 dirhams pour un dessert. Des tarifs raisonnables donc et un parfait rapport qualité prix pour des portions copieuses.

Si vous voulez faire une courte pause, sachez qu’« Un déjeuner à Marrakech » possède aussi l’enseigne « Wak’Fa ».

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Assis, debout ou à l’emporté, vous pouvez y consommer de délicieuses glaces artisanales aux parfums des plus classiques aux plus originaux comme la crème glacée à la corne de gazelle, ou celle à l’amlou (pate à tartiner à l’argan et aux amandes) mais aussi des limonades maison et des milk-shakes.

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« Wak’Fa » est également l’un des rares établissements à proposer des crêpes françaises. Je vous conseille notamment d’en tester une garnie de confiture d’orange maison.

Autre détail et non des moindres dans la médina : ici le service est continu, l’accueil vraiment chaleureux et l’on peut se restaurer de 11h00 à 22h00 sans interruption.

UN DEJEUNER A MARRAKECH – WAK’FA

2-4 Angle rue Kennaria et Douar Graoua – Marrakech Médina

Réservations au + 212 (0)5 24 37 83 87

SE DESALTERER – BOIRE UN THÉ

Il est un quartier de la vieille ville qui est en plein essor : c’est celui du nord de la médina non loin de la médersa.

Pour vous y rendre, vous passerez sans doute vers la rue Sidi Abdelaziz Amsfah.

Au numéro 62, impossible de rater ce food café qui a le vent en poupe : ATAY

Sa déco urban beldi chic vous plaira c’est certain, mais n’hésitez surtout pas à gravir toutes les marches (il faut un peu de souffle) et profiter de sa terrasse qui surplombe la médina.

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ATAY

62, Sidi Abdelaziz Amsfah – Médina – Marrakech

Tél. : +212 (0)6 61 34 42 46 ou + 212 (0)5 24 39 16 18

 

SHOPPER ET SE PAUSER – BOIRE UN THE

Juste à droite du musée de Marrakech et à quelques mètres de la médersa, les fashionistas aguerries découvrirons le nouveau concept store de Sandrine, Warda la Mouche le Bis.

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Forte du succès de sa jolie boutique colorée du 127, rue Kennaria, Warda a ouvert il y a quelques mois cet établissement sur 2 étages qui vaut indéniablement que l’on traverse la médina, juste pour s’y rendre.

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Bijoux, espace déco et accessoires, Warda s’est associée à la sympathique Carole, la créatrice de l’Atelier des trois lutins, pour proposer une offre complète.

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Sur les deux niveaux de la boutique, vous pourrez donc découvrir un espace homme et femme mais aussi désormais la boutique enfant mignonne comme tout avec sa collection Brikicha.

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Toutes les créations vous tendent les bras et soulignons que Sandrine, qui souhaite rendre ses créations accessibles à toutes, propose ses pièces jusqu’au 46 et au-delà, voir n’hésite pas à réaliser du quasi sur mesure ou à reprendre ses créations en cas de fluctuation de poids.

Pour réfléchir à votre shopping, lire la presse du matin  ou bien juste faire une halte, un salon de thé a ouvert au dernier étage sur la terrasse. Ici chaque détail est pensé avec goût : des menus imprimés sur les cahiers d’écolier d’antan la koutoubia, aux petits objets dispersés un peu partout. On a l’impression d’être dans une bonbonnière girly.

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Pas moins de 10 sortes de café vous sont proposées à la carte dont le café noss noss, le café caramel vanille, le café berbère, le café cannelle, le café macchiato… Mais vous pourrez aussi y déguster du lait au gingembre, des milk-shake, du thé (Tchaba) à la fleur d’oranger, à la verveine, berbère ou glacé… Un grand choix de jus de fruits frais pressés ou d’eaux aromatisées viendront vous désaltérer et les plus gourmandes dont je fais partie ne pourront que craquer pour les merveilleux petits gâteaux aussi bons que jolis qui vous font de l’œil sur le comptoir.

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WARDA LA MOUCHE LE BIS

8, bis Souk Chaaria – Médina – Marrakech

Tél. : +212 (0)5 24 44 54 77

ACHETER UN TAPIS

Connu et reconnu des meilleurs décorateurs comme LE spécialiste en la matière, Soufiane est un jeune homme charmant qui commercialise avec passion, au Maroc mais aussi à travers le monde, toutes sortes de tapis produits au Maroc, du plus ancien au plus moderne.

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Au souk des tapis, vous ne pourrez pas rater la petite échoppe blanche qui porte son nom mais sachez aussi qu’il pourra vous emmener dans ses différents show-rooms installés dans des riads aux adresses gardées secrètes. Véritables cavernes d’Ali Baba, ils sont emplis du sol au plafond de tapis tout aussi magnifiques les uns que les autres.

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Si vous cherchez la pièce unique, ou le tapis berbère blanc brodé de paillettes dont vous rêviez, Soufiane est la référence en la matière et il expédie « worldwide ». Si vous n’avez pas la chance de vous rendre à Marrakech, sachez qu’il expose à Maison & Objet à Paris.

 SOUFIANE

13, Souk des tapis – Rahba Kedima – Marrakech

Tél. : +212 (0)6 15 28 56 90 ou (0)6 61 85 34 87

 

MUSEE

Vous n’avez pas encore visité le Musée Boucharouite ? Sachez-le, vous avez raté quelque-chose. Petit joyau culturel abrité dans un riad ravissant, il présente une collection de pièces extraordinaires de ces tapis réalisés à base de bouts de tissus par les femmes berbères. Financé depuis toujours par Patrick, un investisseur privé propriétaire du lieu, le musée a aujourd’hui urgemment besoin de vous pour perdurer et trouver des fonds qui lui permettront de retrouver un équilibre financier. Si vous voulez avoir une idée du lieu et soutenir cet espace culturel extraordinaire, n’hésitez pas à visionner le petit film qui suit et surtout, foncez le visiter !

 

MUSEE BOUCHAROUITE

Azbezt – 107, derb el Cadi – Marrakech Médina

Tél. : +212 (0)5 24 38 38 87

Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 18h00

Fermé le dimanche et en Août

Prix d’entrée : 40 Dhs gratuit pour les moins de 16 ans

 

ACHETER DU (TRES BEAU) LINGE DE MAISON

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Au 170 Arset Aouzel à Bab Doukkala, la « Fabrique by Carol », n’existe plus. C’est la styliste et créatrice globetrotteuse Valérie Barkowski, qui a pour notre plus grand bonheur, intégré les lieux. Elle en a fait une jolie boutique monochrome où le gris domine pour faire écho à son riad : Dar Kawa.

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Celle qui a commencé ses collections de linge de maison en 1997 et dont le nom n’est plus à présenter vient de signer une collection avec AM PM en plus de nombreux autres projets à l’international. Elle a ouvert sa boutique, située juste à côté de son grand ami Mustapha Blaoui, en mars dernier où vous pouvez retrouver à nouveau les collections de linge qui ont fait sa renommée et ses sacs « One of a kind ».

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Présentées dès 2001 à Maison & Objet, ses collections, entièrement produites au Maroc et 100% faites main, ont fait le tour du monde et rapidement rencontrées un énorme succès. Elles sont notamment commercialisées chez Mia Zia à Paris, à Genève, à Saint-Barth, à Marseille ou encore Ibiza.Ce Valérie, également créatrice des marques « Bandit Queen » et « No-Mad », s’inspire d’un savoir-faire traditionnel et le ré-invente sans en dénaturer la technique. Elle aime à dire que le moteur de sa philosophie, s’articule autour des mots-clés suivants : intemporel, fait main, couleur, qualité et voyage. Un linge de maison qui a son identité, souvent copié jamais égalé, et que je vous invite à aller découvrir très vite.

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170 Arset Aouzel, Bab Doukkala – Marrakech Médina

Tél. : +212 (0)6 24 49 40 01

 

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A très vite,

Cheers !

 

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Un jour j’irai à Lisbonne avec toi …

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MA IT-LISTE DES BONS PLANS SHOPPING, DES SORTIES ET DES « WHAT TO SEE » A LISBONNE

Vous avez dans l’idée de vous envoler quelques jours pour découvrir Lisbonne seule, entre copines ou avec votre homme ?
Ce billet est fait pour vous. Contrastée, multicolore et vivante, cette cité située à l’extrême sud ouest de l’Europe, fait partie des incontournables des villes européennes. A seulement 2h30 de vol de Paris, c’est une destination idéale pour un long week-end. J’y ai passé trois jours avec « l’homme » et ne résiste pas à l’envie de partager avec vous mes découvertes.

J’y étais déjà venue il y a 20 ans dans le cadre d’un road trip avec deux amies et j’avais eu un véritable coup de cœur pour cette ville. Deux décennies plus tard, le charme a de nouveau opéré.
A qui n’a pas franchement l’habitude de voyager, rassurez-vous : se repérer et se déplacer dans Lisbonne est facile.
Gardez cependant à l’esprit l’adage du voyageur : c’est toujours en se perdant volontairement que l’on fait les plus belles découvertes.

VOTRE ARRIVÉE A LISBONNE :

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L’aéroport de Lisbonne est desservi par le métro (ligne Aeroporto). Inutile donc de vous mettre en quête d’un taxi dès votre arrivée. La ville propose des pass journée (pass 24h) au prix de 6 € qui vous permettent d’accéder à tous les bus, métros, tramways (même celui qui vous conduira à Belém), l’élévador de Santa Justa et les funiculaires (Bica, Lavra, Gloria). Les distributeurs situés à l’entrée même de la station de l’aéroport vous permettront d’acheter une carte rechargeable. Ne jetez pas votre titre de transport (sinon vous devrez racheter le support pour 50 centimes), même si vous ne l’utilisez pas pendant une journée vous pourrez à loisir le recharger. Il est valable 24h00 à partir de la première validation et peut être crédité de plusieurs « pass 24h00 ».

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Le terminal d’arrivée à l’aéroport est immense et il est pourvu de superbes boutiques.Petit conseil : ne remettez pas au retour vos achats si votre œil d’acheteuse compulsive s’arrête sur LE sac ou LE bijou de vos rêves car, si comme moi vous voyagez sur une compagnie low cost (en l’occurrence easy Jet), vous partirez d’un autre terminal. Tout petit, ce dernier est tristement animé par trois pauvres boutiques (sachez cependant, même si cela n’a rien à voir, qu’il y a un Mac do dans la salle d’embarquement pour parer à vos petites faims).
Il existe plusieurs points d’information rattachés à l’office de tourisme de Lisbonne. Le premier est situé à l’aéroport dans le terminal des arrivées (ouf !) et il est ouvert de 7h00 à minuit.

BON PLAN :
Pensez à télécharger de l’application Trip Advisor : « Lisbonne » dans votre smart phone, vous pourrez alors consulter tout ce qui concerne la ville hors ligne.

Si vous êtes golfeur ou golfeuse, inutile de payer un supplément pour emmener vos clubs, vous pourrez les louer à l’aéroport : 35 €* une série complète par semaine (renseignements au +351 218 413 678). Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous ici.
*Sur la base de la location une semaine d’une série Wilson

Les autres points d’information touristiques sont situés à différents endroits de la ville, dont « Ask me Lisboa Welcome Center », sur la Praça do Comércio (métro : Baixa-Chiado – ouvert de 9h00 à 20h00) ou « Ask me Lisboa Palácio Foz » qui se situe sur la Praça dos Restauradores (métro : Restauradores – ouvert aux mêmes horaires). Allez y récupérer quelques docs et infos, une carte touristique de la ville et un plan des transports en commun.

SE LOGER :

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Pour ceux qui voudront partager le quotidien de lisboètes, faire peut-être de belles rencontres ou vivre au cœur d’un quartier de la ville de façon autonome, réserver un logement partagé ou privatisé par le biais d’Airbnb, est une option intéressante. N’ayant pas eu le temps de préparer notre long week-end nous avons, par commodité, réservé un grand hôtel en plein cœur de la ville : le Jupiter Hotéis.

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Les plus : une chambre business moderne et très confortable doté d’un king size bed (70 € petits déjeuner inclus sur la base de deux personnes la nuit pour un 4 étoiles), une piscine couverte et chauffée, un superbe buffet petit déjeuner varié et délicieux ainsi qu’un menu buffet le soir tout aussi délicieux (18€/personne) et la proximité, à moins de 5 minutes de marche, d’une station de métro (station Saldanha, ligne jaune).

Les moins : se retrouver dans un établissement dénué de charme assez froid de par sa modernité et rempli de touristes, en majorité français. Un accès à la piscine couverte et chauffée payant.

Si vous avez le temps (et les moyens) ou que vous avez loué une voiture, préférez le charme authentique des pousadas historiques ou régionales (prononcez pôsadas), l’équivalent des relais châteaux français.
Même si vous ne séjournez pas dans une pousada (elles sont souvent situées à quelques dizaines de kilomètres de Lisbonne), sachez que vous avez tout à fait la possibilité d’aller vous y restaurer (un repas coûte en moyenne 45 € par personne) ou d’aller y prendre un verre. Souvent située à proximité de lieux historique, elles sont le reflet de ce qu’il y a de plus beau dans le patrimoine portugais (comptez entre 140 et 250 € la nuit).

Voici quelques adresses :
Pousada São Filipe à Setubal
Pousada de Palmela
Pousada Dom Afonso II à Alcacer Do Sal

Oyé Oyé, petit conseil d’amie les filles :

Avant de débuter votre visite, gardez à l’esprit que les rues de Lisbonne sont pentues voir très pentues et (joliment mais irrégulièrement) dallées, inutile donc de chausser vos stilettos favoris au risque de vous fouler les deux chevilles et d’avoir les pieds en sang. Préférez donc une paire de chaussures confortables, voire cette paire de baskets dernier cri sur laquelle vous avez craqué mais que vous n’avez toujours pas sorti de votre dressing.

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N’oubliez pas de lever souvent les yeux vers les façades des bâtiments que vous longerez : vous serez émerveillée par la splendeur des « Azulejos », ces jolis carreaux émaillés, en général bleus, utilisés comme revêtement décoratif qui font la fierté du Portugal.

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ON VISITE :

Les quartiers Baixa, Chiado, Bairro Alto (métro bleu ou vert)

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Ces trois quartiers constituent le centre très animé de la capitale.
LA BAIXA dite « la ville basse » s’étend de la place du commerce à la place du Rossio. On adore flâner le long de la rua Augusta et de la Rua da Prata.

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Mes bonnes adresses shopping :

CHI CORACÃO

Des étoles (de 39 à 69 €), des plaids (79 € pour le modèle 1,5m x 0,80m et 99 € pour le modèle 1,80m x 2,20m qui peut faire office de couvre lit), des manteaux (de 160 à 198 €) et des créations colorées et réalisées avec grand soin 100% laine et 100% made in Portugal. On ne sait que choisir.

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Rua da Prata, n°274 Baixa Lisboa – Tél. : +351 218 862 014
Ouvert du lundi au samedi de 10h00 à 20h00

T-SHIRTS AND ALL
Des tee-shirts, des « hoodies » et des sweat-shirts à messages tendance et à prix raisonnables pour hommes, femmes et enfants (comptez 14,90 € le tee-shirt) dont le fameux « I love Lisboa ».

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Rua da Prata n° 148 – Lisbonne – Tél : +351 211 921 092

DROGARIA SÃO DOMINGOS (Produits de beauté)
Qui aime les produits de beauté, sera forcément interpellé par cette adresse. Ici c’est un petit paradis suranné où les flacons, crèmes et autres soins capillaires sont rangés avec soin jusqu’au plafond.

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Je vous en avais déjà parlé dans cet article sur Porto, je suis archi fan des crèmes portugaises Beñamor (en particulier la crème pour les mains à 3,70 € le tube). J’ai donc été ravie de pouvoir renouveler mon stock à cette adresse locale.
Rua Dom Antão de Amalda 4A – Lisbonne – Tél. : +351 213 426 636

MANTEIGARIA SILVA (Epicerie fine : Morue Salée, Charcuterie, Fromage)
Ici, on revendique que le Pata Negra (jambon cru fait de porc noir ibérique, sans doute l’un des meilleurs jambons au monde) est portugais (57,50€/kg pour du 24 mois) et tout à l’air absolument délicieux.

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Si vous êtes amateur de charcuterie, de fromage ou de « bacalhau » (morue) cette épicerie qui existe depuis 125 ans va vous faire rêver. Bon plan : ils emballent sous vide.
Rua Dom Antão de Amalda 1D – Lisbonne – Tél. : +351 213 424 905
Ouvert du lundi au samedi de 9h00 à 19h30

SOARES & REBELO, L.DA (graines et semences)
Si vous avez un jardin, voici un établissement typique comme en trouve aussi à Porto (celui-ci existe depuis 1935) où vous pourrez acheter au poids toutes les graines possibles et imaginables pour votre potager ou vos balcons. A voir.

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Rua Dom Antão de Amalda 1, 1A et 1B – Lisbonne – Tél. : +351 213 424 905

BOIRE UN VERRE AU SOLEIL :

Rendez-vous à la station Terreiro Paço (ligne bleue). Juste à sa sortie, un lisboète a eu la géniale idée d’installer un bar en forme de voilier et des chaises longues pour boire un verre face au Tage et dos à la Praça Do Comércio. On y est très bien lorsque le soleil brille.

CAIS DA FAVORITA

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Le quartier Chiado est considéré comme un quartier commerçant plutôt chic de la vieille ville. On arpente ses rues et sur ses places, on fait ses emplettes et on s’arrête boire un « bika » (café portugais) à la terrasse d’un de ses nombreux cafés.

Mes bonnes adresses shopping :

Le Food Corner du Centre Commercial Armazens de Chiado dans la rue Garrett.

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Ici, rien de bien dépaysant, mais vous pouvez aller déguster un latte au Starbucks lisboète ou déjeuner simplement dans le food corner. Vous trouverez à proximité un immense H&M sur plusieurs étages (très bien rangé) et un superbe Zara Home.

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CUBANAS (chaussures)
Vous ne les aviez pas encore remarquées sur le net ? Quand vous aurez découvert les jolies boots en plastique « so urban chic et so confortables » qui ont fait toute la renommée de la marque, vous ne pourrez que craquer.

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(Merci à ma BFF pour le cadeau)
Rua Serpa Pinto n°12A – Lisboa – Tél. : + 351 912 374 516

A VIDA PORTUGUESA (Souvenirs 100% Portugal)
Un peu dans l’esprit de la boutique Artes & etc dont je vous parle plus bas, cette boutique propose des souvenirs originaux tendance et vintage : conserves rétro, savons parfumés, plaids en laine …
Rua Anchieta n°11 – Chiado Lisbonne

LA CASA HAVANEZA desde 1864 (Cigares, tabac et liqueurs)
A deux pas de la sortie de métro (Baixa-Chiado), vous ne pourrez pas rater cette superbe civette qui fait référence (il en existe deux autres de la même enseigne à Lisbonne) et qui propose un grand choix de cigares, notamment cubains.

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Devant la boutique, est érigée la statue du célèbre écrivain, polémiste et poète portugais, Fernando Antonio Nogueira Pessoa.
Largo do Chiado n°25 – Lisboa – Tél. : + 351 213 420 340

CHIADO FACTORY (Concept Store)
Véritable mélange entre la galerie et le concept-store, cet établissement vraiment dément a ouvert en 2014 et regroupe des créateurs sur plusieurs étages et dans différentes ambiances. On y trouve, de la mode, des accessoires, de la déco, des lunettes, des souliers de danse…

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Rua da Misericordia n°79 – Chiado – Lisbonne – Tél. : +351 213 460 009 ou +351 969 731 57
Ouvert de 10h30 à 20h00

CHOCOLATARIA EQUADOR (Confiserie artisanale)
Fatiguée de votre séance shopping ? A peine la porte franchie de cette jolie boutique gourmande, vos sens sont en émoi et la délicate odeur du chocolat en vitrine fait saliver vos papilles.

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Pour acheter l’un des meilleurs chocolats de Lisbonne (100% artisanal) ou déguster un chocolat chaud qui vaut l’établissement parisien Angelina.
Rua da Misericordia n°72 – Chiado – Lisbonne – Tél. : +351 213 471 229

A FAIRE ABSOLUMENT :

Prenez le tram jaune de la ligne 28.

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Fabriqués dans les années 30, ces petits trams Remodelado (et souvent bondés) sont les seuls à pouvoir circuler dans les rues sinueuses de Baixa, Graça, Alfama et Estrela. Les cadrans, les manettes, les bancs étroits et inconfortables en bois, rien n’a changé, sauf les freins très puissants qui ont été refaits dans les années 90. En général, les touristes l’empruntent pour se rendre dans le quartier populaire et historique de l’Alfama pour aller visiter le château mais le meilleur conseil, c’est de ne pas hésiter à faire l’intégralité du circuit qu’il propose, vous pourrez ainsi voir les plus beaux monuments de la ville. Votre « pass 24 » fonctionne dans ce tram. Si vous n’en avez pas, le ticket aller vous coutera 2,85 €. Emprunter la ligne 28 est l’attraction incontournable de Lisbonne, laissez vous embarquer.
Petit avertissement : comme dans toutes les grandes métropoles, faites attention au vol à la tire surtout dans les tramways.

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Ci-contre : le pont du 25 avril ou Pont suspendu. Il a des airs du Golden Gate Bridge de San Francisco et c’est bien normal puisque c’est la même firme qui l’exécuta : l’American Bridge Company. Elevé entre 1962 et 1966, il est long de 3,2 kilomètres et haut de 70 mètres.

Pour information, Lisbonne est devenu un point névralgique du street art en Europe. Sachez qu’il existe même un livre qui référence les plus belles œuvres avec plan (à acheter chez Artes & etc).

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Le quartier Bairro Alto est charmant. On adore ses petites rues tortueuses. C’est le quartier branché lisboète et le lieu de prédilection pour sortir faire la tournée des bars et aller écouter du Fado.

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Allez-y vers 18h00 a minima, c’est en fin de journée qu’il s’anime vraiment. En fin de soirée, à l’heure où les bars sont bondés ne vous étonnez pas que l’on vous propose des substances illicites, déclinez poliment (c’est un conseil) et passez votre chemin.

Mes bonnes adresses Shopping :

FABRICA DOS CHAPEUS :
Ce vrai chapelier, vous propose dans sa petite boutique familiale du Bairro Alto des chapeaux et couvre-chefs de tous types.
Rua da Rosa – Bairro Alto Lisbonne – Tél : +351 211 914 579

CONSERVEIRA DE LISBOA (CONSERVERIE)
Un incontournable. Ici, s’alignent les conserves toutes colorées à la déco vintage et inchangée des années 30 de thon, de morue, de maquereau et bien sûr de sardine. (marques distribuées par cette entreprise de tradition : Tricana, Minor et Prata do Mar)
Rua Bacalhoeiros n°34 (descendre des trams 28, 18 ou 25 E à l’arrêt Praça do Comércio, la boutique est ensuite à 5 minutes de marche)

EL DORADO SHOP
Un magasin alternatif comme on pourrait trouver à Londres : street fashion/urban wear/shoes and vintage…neuf et seconde main.

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Rua do Norte n°23/25 – Bairro Alto Lisbonne – Tél. : + 351 964 792 275

MINI BY LUNA

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Concept store : Déco, prêt à porter et accessoires Femmes et enfants.
Rua Dom Pedro V n°74 – Lisbonne – Tél. : +351 213 465 161

PAVILHÃO CHINES : (BAR)

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Encore une très bonne adresse à Lisbonne. La déco de ce bar (très grand car il possède plusieurs salles) est complètement folle et honnêtement, indescriptible. Au fond, une salle de billard attend les amateurs. Les cocktails (carte très variée) sont aussi chers que dans tous les endroits branchés de la ville (autour des 8€ prix de départ) mais le cadre les vaut largement.
Rua Dom Pedro V n°89 – Bairro Alto – Lisbonne Tél. : +351 213 424 729
Ouvert tous les jours de 18h00 à 2h00 du matin

EM NOME DA ROSA : (FLEURS)
Si comme moi vous aimez les fleurs, allez voir cette boutique.

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Evidemment, il sera compliqué de ramener des compositions en avion mais la qualité des produits et le goût raffiné de la fleuriste en font un endroit magique tout droit tiré d’un magazine de décoration.
Praça do Principe Real n°22 – Lisbonne -Tél. : +351 213 466 018

Embaixada Concept Store
GIN LOVERS : (GIN – STORE – FOOD)
Cherchez cette adresse, c’est juste extraordinaire.

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Cet ancien palais néo-arabe est devenu un concept store et accueille dans chacune de ses pièces, un corner créateur. Au cœur du patio central, Gin Lovers (qui a aussi sa boutique) a installé son espace bar/restauration. Il propose à la carte, les gins du monde entier et sert une restauration de qualité.

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Par ailleurs, son manager Joao, est un charmant jeune lisboète.

UOY
Voici une excellente adresse de confection à vos mesures pour vous Messieurs, où vous choisirez tout de votre prochain costume jusqu’au tissu de la doublure et aux boutons.

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Daniel Rocha, « Personal Tailor », propose de la confection 100% sur-mesure de grande qualité et à un prix raisonnable.
Tél : + 351 918 227 037

Embaixada Concept Store – Praça do Príncipe Real n°26 – Lisbonne – Tél : +351 213 471 341
Ouvert de 12h00 à 20h00 pour les corners jusqu’à minuit pour Gin Lovers

REAL CONCEPT STORE

L’idée est excellente : une immense plateforme style loft et différents corners de créateurs indépendants qui proposent avec cohérence le meilleur des bijoux, de la déco, du mobilier vintage, du prêt à porter et de l’univers de l’enfant.

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Entre deux corners, on peut se désaltérer dans un café intégré (Le Raffi’s Bagels) au lieu et réfléchir avec sérénité à ses achats.
Praça do Principe Real n°20 – Lisbonne – Tél. : + 351 213 461 147
Ouvert de 10h30 à 20h00.

LE FADO

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Même si vous n’êtes pas, à la base, fondamentalement fan de ce genre musical, il serait vraiment dommage d’aller à Lisbonne sans aller écouter du Fado. Classé au Patrimoine de l’humanité, on dit qu’il serait apparu dans les quartiers de Lisbonne dans les années 1820. Il prend la forme d’un chant mélancolique interprété par un ou une fadista généralement accompagné(e) par une « guitarra» (guitare portugaise à 12 cordes) et la « viola » (instrument à 6 cordes). Le Fado incarne l’âme du Portugal et la mélancolie des quartiers populaires où il est né. Il exploite en général des thèmes récurrents : la saudade, l’amour inaccompli, la nostalgie des morts et du passé, la jalousie, la difficulté à vivre, le chagrin et l’exil…

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Où aller en écouter :
Les différents centres d’information touristiques vous orienteront vers des établissements dédiés (comme le Café Luso ou l’Adega Machado) mais attention : ils sont chers, voir très chers. Nous avons préféré nous orienter vers de petits établissements authentiques et populaires reconnus des lisboètes.

A TASCA DO CHINO
C’est mon coup de cœur.
J’y ai passé une merveilleuse soirée et j’y ai rencontré des Acadiens très sympas. On se croirait à la Havane, à la Bodeguita Del Medio. Le lieu est tout petit et constamment bondé, recouvert des portraits de tous les chanteurs qui se sont produits ici.
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Toutes les 20 minutes le ou la Fadista chante 3 ou 4 chansons, lumières éteintes pour l’occasion par le patron des lieux qui a à cœur de faire respecter le silence qui est dû à l’interprète. Ici le Fado, c’est sacré. La promiscuité des tables et l’excellente sangria facilite les rencontres. Forcément comme c’est une bonne adresse appréciée des lisboètes, il vaut mieux réserver sinon vous risquez de ne jamais rentrer. On y grignote simplement des tapas et ce n’est pas cher. Il n’y a pas non plus d’entrée à payer pour venir écouter.
Rua Diàrio de Noticias n° 39 – Bairro Alto – Lisbonne – Tél. : + 351 965 059 670 ou + 351 961 339 696

Ce soir là, C’est la fadista Diana Vilarinho qui s’était produite.



Voici d’autres adresses pour aller écouter du Fado et dîner dans le quartier populaire de l’Alfama :

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DRAGÃO DE ALFAMA
Très typique, peu touristique. Cuisine portugaise. Soirées Fado les vendredis et samedis. Comptez environ 20 € / pers. Réservation conseillée.
Rua Guilherme Braga n° 8 – Alfama Lisbonne. Tel. : +351 218 867 737.

FADO NA MORGADINHA
Sardines grillées, gambas, tapas et chanteurs de Fado à partir de 20h30. Réservation conseillée. Prenez la « Bacalhau » (morue) les yeux fermés. Comptez en moyenne 20 à 25 € / pers.
Largo do Peneireiro n°5-5A – Alfama Lisbonne – Tel. : +351 211 517 725.

AVENIDA DA LIBERDADE (métro Avenida)

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Construite au 19ème siècle sur une largeur d’environ 100 mètres, l’avenue de la Liberté (1 km de long) est la rue principale de Lisbonne mais aussi la plus chère. Sur le modèle de l’avenue Montaigne à Paris, on y retrouve toutes les grandes enseignes de la joaillerie et les boutiques de luxe.
Il est cependant très agréable de la descendre et de s’arrêter boire un petit café dans l’un des nombreux kiosques.

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J’y ai dégoté quelques adresses accessibles qui valent vraiment le coup d’œil.

ARTES & ETC

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Cette enseigne possède plusieurs points de vente à Lisbonne. Pour les avoir toutes faites, c’est cependant cette adresse que je préfère. La gérante est accueillante et d’excellent conseil.

Dans cette boutique de créateurs, vous trouverez des tonnes d’idées cadeaux tendance et de souvenirs de bon goût 100% made in Portugal (Bijoux, accessoires, céramiques, savons artisanaux, parfums d’ambiances, petite maroquinerie, cadres et livres traduits en différentes langues…)

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Cette boutique réunit le meilleur de l’artisanat portugais traditionnel ou urbain.
Avenida da Liberdade, n°81/83 – Lisbonne

Vous voulez « shopper » à l’américaine ?
Les malls ne sont pas vraiment mon truc car je n’aime pas être enfermée mais sachez que la ville est bien pourvue en matière de centres commerciaux. J’ai eu l’occasion de me rendre au centre commercial Colombo, il est immense et ouvert jusqu’à minuit et il possède un Primark aussi grand qu’un supermarché à lui tout seul. On y accède directement en métro (station Colégio Militar/Luz ligne bleue).

Centre commercial Colombo :
Le plus grand : 300 boutiques, 65 restaurants, 10 salles de cinéma, etc juste à proximité du fameux stade de football : « Estadio da Luz »
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Av. Lusíada, Lisbonne

El Corte Inglés :
Une centaine de boutiques, restaurants, cinémas, etc.
Av. António Augusto de Aguiar, Lisbonne

Centre commercial Vasco da Gama :
Une centaine de magasins, 33 restaurants, 6 salles de cinéma, etc.
Avenida Dom João II Lote1.05.02, Parque das Nações, Lisbonne

Centre commercial Campo Pequeno
(à 5 minutes à pieds de l’hôtel Jupiter – Station de métro : campo pequeno) : Environ 60 boutiques, 10 bars, cafés, restaurants, 8 salles de cinéma.

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Praça de Touros do Campo Pequeno, Lisbonne

Autre idée de sortie :
Les puces de la « Feira da Ladra » (Foire de la voleuse) : (Campo de Santa Clara) qui ont lieu les mardis et samedis dans plusieurs rues du quartier de l’Alfama. Brocante typique et bric à brac à même le sol mais également quelques brocanteurs spécialisés disposant de petites boutiques.
Quand ? Le mardi de 7h00 à 14h00 et le samedi de 7h00 à 18h00

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Découvrir Belém…

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La fameuse et célèbre tour de Belém qui a vu partir les plus grands conquistadors, le Mosteiro dos Jeronimos, un monastère grandiose et surprenant qui abrite les tombes de Pessoa et de Vasco de Gama mais aussi et surtout, sa spécialité gourmande :

LES PASTEIS DE BELEM

Souvent copiées jamais égalées.
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Vous ne pouvez pas repartir de Belém sans avoir gouté à ces délicieuses tartelettes à la crème finement saupoudrées (au choix) de sucre ou de cannelle et dont la base est une pate feuilletée garnie d’un appareil gourmand élaboré à base de lait, de crème fraiche, de vanille et d’autres ingrédients jalousement tenus secret par le fameux pâtissier. La fabrique a été fondée en 1837 et c’est une véritable institution devant laquelle on fait souvent la queue pour venir acheter à emporter ces délices encore tièdes tout droit sortis du four ou pour les déguster sur place dans l’une des nombreuses salles décorées d’azulejos bleus. Le lieu fait aussi snack et salon de thé.
ANTIGA CONFEITARIA DE BELÉM – 84-92, Rua de Belém, Belém – Tél : +351 213 637 423

Vous arrivez au bout de ce billet que je conclurais par cet extrait de « Lisbonne », écrit par Fernando Pessoa :

« Pour le voyageur qui arrive par la mer, Lisbonne, même de loin, s’élève comme une ravissante vision de rêve, et se découpe clairement contre le bleu vif du ciel que le soleil réchauffe de son or. Les dômes, les monuments, les vieux châteaux font saillie au dessus du fouillis de maisons et semblent être de lointains hérauts de ce séjour délicieux, de cette région bénie. »
Boa viagem, Cheers !

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A part ça, tout va bien …

 

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Aux nouvelles ce matin, l’horreur absolue : une maman ivre a projeté son bébé, en pleine rue, contre un mur.

Avant hier, un homme, agacé par les pleurs de son nourrisson de 6 mois, a tué ce dernier à coups de poing dans l’abdomen et les testicules juste parce qu’il l’empêchait de jouer à la console. L’horreur est une réalité quotidienne.

Mes lectures du matin ont toutes de quoi me mettre à plat et m’écœurer encore un peu plus sur la nature du monde. Ajoutez à cela que Maurice White, fondateur d’Earth Wind and Fire est décédé et que si vous êtes enceinte, mieux vaut ne pas projeter un séjour -notamment au Brésil- où le virus Zika risque d’atteindre votre bébé et le faire souffrir de microcéphalie. Tout cela vient donc en plus des ravages du fanatisme planétaire ambiant qui nous abîme l’âme, un peu plus chaque jour.

N’en jetez plus la coupe est presque pleine.

Comment ne pas avoir le moral dans les chaussettes ? Et pourtant, s’il est une réalité, c’est qu’on ne peut pas vouloir à tout prix changer le décor du monde.
On a toutes et tous, à notre niveau, des épreuves de vie qui se présentent à nos portes et qu’il faut affronter au mieux et sans manuel.

Note à moi-même: 

Suggérer à Jean-Joseph Julaud, l’auteur de la collection à succès « pour les nuls » de rédiger fissa un ouvrage à l’usage des mères de famille qui aura pour titre : « Comprendre et accompagner vers l’âge adulte avec sérénité les adolescents d’aujourd’hui pour les nuls ».

« A part ça, tout va bien », c’est le petit mantra qu’il faut garder en tête et celui sur lequel se focaliser pour se projeter vers des jours plus heureux, plus sereins, car forcément, ils se présenteront un jour à nos portes, la vie étant faite de cycles.
L’arme absolue pour faire face au blues du moment ? Sans doute l’altruisme et la bienveillance mais surtout la sagesse.
Sa définition : propension à ne pas se laisser submerger par les épreuves de la vie et l’aptitude à pouvoir regarder bien en face ce qui altère notre bien être. Un recul nécessaire à toute (bonne) prise de décision.
Atteindre la sagesse, c’est arriver à libérer son esprit de tous les flux négatifs (j’ai dit tous, y compris mes casse-pied de voisins) pour atteindre une amplitude intérieure qui permette de faire face aux hauts et aux bas de l’existence tout en étant acteur de sa vie et en prenant les meilleures décisions possibles.

Merci Matthieu Ricard. Om mani padme hum
La mise en application n’a rien de simple. Nous ployons souvent sous le poids des difficultés, des accidents de la vie, des contrariétés, de nos propres colères. Pourtant, nous possédons toutes et tous au fond de nous, une force incommensurable qui peut, lorsque nécessaire, nous aider à affronter les pires moments. Parfois, fatigués par les difficultés, nous oublions d’aller puiser dans cette réserve et tout bonnement de nous faire confiance et d’être bienveillant à l’égard de nous même puis des autres.

« A part ça donc, tout va bien », le soleil a pointé le bout de son nez sur cette journée maussade et humide d’hiver et bonne nouvelle de la semaine: la poupée Barbie va enfin se présenter en taille 42 aux petites filles qui ne penseront plus que la taille zéro est le seul modèle valable. Nous pourrons ainsi nous tourner vers autre chose que ce que prône notre société de consommation à savoir: l’éloge de la beauté.
Mieux vaut trouver la meilleure façon de s’épanouir, vous ne trouvez pas ?

C’est de cela dont il est question.

Cheers et bon Week-end !

Tout ce qu’un guide sur Marrakech ne vous dira jamais …

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…le Guide des Gazelles à Marrakech s’engage à vous le présenter.

Pour un auteur, recevoir la première copie d’un livre que l’on a imaginé, conceptualisé, rédigé, c’est un moment particulier, très personnel.

Fébrile, on prend l’ouvrage entre ses mains, on le manipule, on inspecte le rendu, la qualité d’impression, on respire l’odeur du papier, on inspecte chaque page à la loupe.

C’est comme un accouchement. La naissance d’un objet longuement pensé, sur lequel on a projeté beaucoup d’attentes. Un condensé de plusieurs mois de travail qui prend toute sa réalité dès lors qu’on peut en tourner les pages.

C’est un achèvement, de réflexion, de documentation, de découvertes, d’écriture, de relecture, de belles rencontres aussi. Dans le même temps, c’est le début de la seconde partie de l’aventure car la finalité de l’exercice ne consiste pas seulement à être édité mais bien à être lu par le plus grand nombre, donc que le livre soit bien distribué, salué par la Presse, acheté et recommandé par le bouche à oreille.

« Le Guide des Gazelles à Marrakech – Tout ce qu’un Guide ne vous dira jamais »,  mon second livre, sort un vendredi 13 !

Je n’ai pas choisi la date. Evidemment, je ne veux y voir que de bons augures.

D’un tempérament plutôt optimiste et loin de souffrir de paraskevidékatriaphobie (la phobie des vendredi 13 et oui, cela existe), je veux croire que ce jour du vendredi 13 novembre 2015 sera placé sous le signe de la chance. Un peu superstitieuse (en vrai beaucoup : vous ai-je dit que je porte TOUJOURS une main de Fatma au poignet comme symbole protecteur depuis qu’elle m’a été offerte par ma copine Frédé il y a des années ?), je concentre toutes mes pensées vers la réussite de ce livre.

Ce guide n’est pas seulement une réalisation professionnelle. Pour moi, il veut dire beaucoup. Plus que tout, j’avais à cœur d’établir un lien particulier indéfectible avec la ville rouge, sa culture orientale et ses habitants, les marrakchis. C’est désormais chose faite.

J’avais envie de partager avec vous tous, et notamment ceux et celles qui ont contribué à la réussite de prosekawa, mon Marrakech.

Je vous invite à présent à en découvrir sa magie et vous informe que vous pouvez pré-commander ou commander « on line » ce guide au féminin pas comme les autres notamment ici (dois-je ajouter que c’est LE MUST HAVE des cadeaux de Noël ?).

C’est une promesse que je vous fais : il contribuera à vous donner envie de vous rendre dans la perle du sud et il fera de votre séjour, un moment inoubliable.

ET SI ON SE RENCONTRAIT ?

Le 4 décembre prochain, aura lieu la soirée de lancement et de signature du livre à Paris (entre 17h30 et 21h30) à St Germain des Prés.

Cet événement sera accueilli par la superbe boutique JUSTINE RED

2, rue Guisarde – Paris 6ème 

Métro : Mabillon (ligne 10) ou Saint Germain des Prés (ligne 4)

Parking : St Germain des Prés.

Si vous souhaitez venir y acquérir le livre ou me rencontrer, il vous suffit simplement d’adresser un mail pour confirmer votre participation (la soirée n’ayant lieu que sur invitation) à l’adresse suivante : mhv.justinered@gmail.com

J’espère avoir l’occasion de vous voir très bientôt,

RIHLA SAIDA ! (Bon voyage !)

Cheers !

Juste après l’humanité naufragée …

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En surfant sur les réseaux sociaux ou en écoutant les médias hier, nul ne pouvait passer à côté du hashtag « Humanité naufragée ».
A l’appui, l’image dotée d’une puissance émotionnelle insoutenable, parce qu’il s’agit d’un enfant, du petit Aylan Kurdy, 3 ans, semblant dormir, mort sur une plage de la station balnéaire turque de Bodrum. Rejeté, autant par la mer que par le peuple européen, symbole malgré lui de la désespérance des migrants.

« Ils sont déjà 351 000 selon l’Office International des Migrations à avoir pris le risque de traverser la Méditerranée en 2015, soit 60% de plus que l’année précédente ». Ce n’était pas la première fois que la reporter Nilüfer Demir photographiait des migrants noyés sur les plages turques. Mais la brutalité du cliché de cet enfant qui évoque la vulnérabilité et l’innocence sacrifiée, a fait le tour du monde en quelques clics et enfin secoué les consciences sur un drame humain qui n’a malheureusement rien de nouveau.

Aucun homme, aucune femme ne peuvent rester insensibles à cette tragédie qui secoue le monde et lui fait prendre conscience de l’urgence humanitaire prête à faire exploser les frontières de l’Europe. Je lis sur Facebook et Twitter des statuts qui somment notre gouvernement d’accueillir des migrants. D’autres qui, sensibilisés par le drame leur sautant au visage, se proposent d’héberger des réfugiés chez eux presque un peu comme on récupérerait un chaton égaré.

Il est vital de ne plus fermer les yeux sur un exode qui tue des centaines d’innocents quotidiennement et permet à des passeurs opportunistes, chaque jour, sous les yeux des autorités turques, de s’enrichir de la misère de ces pauvres gens. Ceux là même qui n’ont pas d’autre alternative que de tenter, au péril de leur vie, de fuir à tout prix dans l’espoir d’une existence « meilleure ».

C’était le cas de la famille d’Aylan, originaire de la ville syrienne de Kobané, détruite par la guerre.
Désespérée, elle tentait de rejoindre la Grèce. Hier, à l’heure où nos charmantes têtes blondes riaient dans les cours de récréation, il n’y avait plus de famille Kurdy. Sauf le père d’Aylan, désormais seul survivant, qui a décidé de retourner à Kobané, portant dans son coeur la peine éternelle et sans aucun doute la culpabilité de n’avoir pu retenir ses enfants lors du chavirage de leur embarcation.

Jusqu’alors, l’Europe était désunie dans ce combat et les pays membres étaient incapables de trouver une solution durable et cohérente. Il parait évident que certains choix ou absence de choix politique rendent les grandes puissances responsables de ce désastre migratoire.
Ni politologue ni sociologue, je n’ai absolument aucune légitimé pour m’exprimer sauf celle de la compassion que je ressens à l’égard de ces gens depuis déjà longtemps et j’en appelle maintenant au courage des politiques. Nous ne les avons pas élus pour seulement twitter l’actualité mais pour prendre leurs responsabilités de femmes et d’hommes d’Etat.

Cependant, je pense qu’il est nécéssaire de faire attention à ce que la surexploitation de ce cliché ne vise pas à prendre en otage nos consciences.

Il n’est pas certain que l’accueil inconditionnel des migrants ne soit une solution pérenne pour l’avenir de notre pays. Il est urgent d’accueillir les familles fuyant les combats de façon réfléchie et organisée avec un réel plan à la clé.

La résolution d’une crise de cette ampleur, ne se fera pas dans l’urgence de l’émotion. L’Union européenne est capable de se réunir des nuits entières pour parler du sauvetage financier de la Grèce mais est-elle capable de le faire afin de sauver des vies humaines ? Il est temps pour l’Europe de se ressaisir et de faire enfin face au drame qui se joue à ses portes.

Face à cette urgence, pourquoi l’Europe n’envoie t-elle pas des navires de guerre pour empêcher les passeurs de faire leur sale boulot ? Ce serait déjà un début.

Quand au problème de fond, à savoir la motivation de ces pauvres gens qui, acculés par la noirceur de leur présent et leur absence de futur, s’embarquent sur des rafiots de fortune, il est complexe et doit être réglé à la source, notamment en luttant ardemment contre les ambitions d’extension du fléau barbare Daech. Messieurs les gouvernants à vous de prendre vos responsabilités, de mener de véritables actions de politique étrangère, peut-être en rouvrant le dialogue avec la Russie, l’Iran et la Syrie.

Hier, j’ai regardé la photo de ce petit garçon, devenu à lui seul le symbole martyr de tous les peuples migrants. J’ai repensé à cette chanson de Cabrel, « African Tour » que je vous laisse découvrir ou redécouvrir ici. Ecrite il y a déjà quelques années, elle est tristement toujours d’actualité, même si elle évoque les migrants africains.

A l’heure où je suis allée me coucher, éprouvée comme chacun par la misère du monde, j’ai pensé à cet homme qui avait l’humanité naufragée dans ses bras.

En regardant longuement la photo de ce policier turc qui, semble t-il, porte avec précaution cet enfant sans vie, je me suis demandée ce qu’il avait fait, juste après.

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Ma IT-liste des bons plans Shopping et des sorties à Marrakech, part’ 6 : la Villa Kacy

Aux dires des professionnels du tourisme, Marrakech semblerait être, depuis les derniers attentats survenus en juin dernier en Tunisie, une destination plutôt boudée et ce, principalement par les touristes français. Evidemment, le monde vit une période troublée et les personnes qui n’ont pas l’habitude de voyager ont tendance à faire l’amalgame entre tous les pays du Maghreb et notamment la Tunisie et le Maroc. Pourtant, je vous affirme, que le Maroc est une destination tout à fait sécurisée et extrêmement surveillée. Sinon, pourquoi, l’acteur américain de Mission Impossible (dont le dernier volet a été tourné au Maroc) Tom Cruise himself, aurait-il choisit Marrakech comme destination, pour son mariage qui aura lieu en décembre prochain ?
Personnellement, j’ai plus d’angoisse à aller visiter la Tour Eiffel ou à me balader sur les Champs Elysées que de me promener dans la Médina de la ville rouge.

Tout cela pour vous dire que, fidèle à moi même, j’ai fait un court séjour en juillet dernier dans ma ville d’adoption et que j’y ai découvert un nouvel établissement qui m’a permis de vivre une vraie vie de Pacha à la campagne : La Villa Kacy.

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Certes, des maisons d’hôtes de ce type il en existe pléthores aux alentours de la ville rouge. Mais la Villa Kacy, qui est à deux pas du Beldi Country Club, a ceci de particulier qu’outre sa décoration franchement réussie (j’adore l’association du orange Hermès et du marron chocolat), une fois la porte passée, c’est le sens de l’accueil, la convivialité, et le plaisir des sens qui vous sont offerts sur un plateau.

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Cela ne trompe pas : personnalités publiques et anonymes se mêlent dans une joyeuse ambiance de fête que Karim et Cyrille, instiguent par leur bonne humeur, nous donnant très vite la sensation d’être des amis de longue date.

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Pour vous y rendre de la médina, 15 petites minutes à peine vous suffiront pour effectuer les 5 kilomètres qui séparent la Villa Kacy de la Koutoubia si l’on prend cette dernière pour référence. En petit taxi cela vous en coutera 100 dirhams, soit un peu moins de 10 euros. Située à proximité des plus beaux golfs du Royaume face à l’Atlas, Karim, Cyrille et leur staff vous accueillent avec chaleur et authenticité dans leur domaine de 3 hectares planté d’arbres fruitiers (orangers, citronniers, grenadiers…).

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Ici, on est loin du « bling bling » et rien n’est surfait, pas même les paons et les ânes qui se baladent en liberté. Une adresse idéale pour « déconnecter » au vert.

Un massage sur la terrasse à l’ombre des oliviers et des mimosas ? Un plongeon dans la superbe piscine chauffée ?

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Envie d’une cuisine marocaine gourmande, authentique et savoureuse ? Tout y est. J’oubliais : vous pouvez aussi y passer la journée (formule d’excellent rapport qualité/prix à 18 €/personne sur réservation, comprenant le déjeuner et l’accès à la piscine). Attention, les expats s’étant « refilés » la bonne adresse il est plus qu’indispensable de réserver.

Les yeux rivés sur les étoiles …

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Bon plan : en plus de ses 8 chambres d’hôtes et de ses luxueux lodges climatisés, la Villa Kacy, qui rappelons le, est régulièrement privatisée pour des mariages ou séminaires, est le premier établissement d’Afrique à proposer l’expérience insolite de dormir dans une chambre-bulle.

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Dormir à la belle étoile, en parfaite harmonie avec la nature dans le confort d’une belle chambre d’hôtel, c’est la promesse de la villa Kacy avec ses nouvelles chambres bulles proposées à leurs hôtes. Le design de celles-ci souligne l’architecture ronde et protectrice de la sphère tout en dessinant un nid douillet. Une fois allongé, la magie opère et c’est la transparence qui s’impose pour vous faire découvrir ce que vous n’auriez jamais vu autrement.

Ne craignez pas d’avoir chaud si c’est la première pensée qui vous vient à l’esprit, les chambres bulles sont ventilées par un concept particulier très agréable. Par ailleurs, elles sont équipées d’une lunette astronomique qui vous permettra de découvrir le ciel marocain comme nulle part ailleurs.

Intimité et écologie, c’est ce que combine la chambre bulle qui possède sa propre allée et garantit de vous permettre de profiter du ciel étoilé, de la faune, de la flore, dans un espace où vous êtes à l’abri des regards, idéal par exemple pour vivre différemment votre lune de miel.

« So chic and so romantic » Karim et Cyrille proposent d’ailleurs aux amoureux une formule à 2090 Dhs comprenant la nuit, un dîner aux chandelles et deux massage d’une heure réalisé par l’experte et talentueuse masseuse Yaya. Une expérience hors du commun à vivre.

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Villa Kacy : chambres standards à partir de 78 €/nuit selon la saison. Chambres bulles à partir de 91 €/nuit selon la saison.
Route d’Amizmiz (route du Barrage), km 5 – Marrakech
Tél. : +212 (0) 524 38 71 87 ou +212 (0) 661 83 18 37
http://www.lavillakacy.com

Convaincu(e)s ? Pour plus de bonnes adresses et de récits, courez vite acheter dès septembre en librairie le guide des gazelles à Marrakech à paraître aux Editions Privat et découvrez Marrakech autrement car ce livre vous promet justement de vous livrer tout ce qu’un guide ne vous dira jamais …

Cheers !

Marrakech tout en douceur et au gré des vents…

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Je suis certaine, qu’un peu comme tout le monde, vous avez bien dû, (si ce n’est sur papier, dans votre tête), établir la liste des choses que vous souhaiteriez vivre ou expérimenter au moins une fois dans votre vie.

Sans y penser vraiment, je me disais que voir « la terre vue du ciel », autrement qu’en feuilletant le livre de Yann Arthus-Bertrand, par exemple du haut d’une montgolfière, pourrait être une expérience hors du commun. Vivre cette aventure me fut proposée au Maroc, à Marrakech (enfin plutôt au nord de la Palmeraie) et c’est avec beaucoup d’excitation que j’acceptais.

Je n’eus aucun a priori, aucune angoisse particulière car je n’ai pas le vertige, juste de la curiosité et du plaisir à l’idée de vivre quelque chose de rare et d’extra-ordinaire. Une expérience me semblait-il qui me permettrait de découvrir le paysage avec les yeux d’un oiseau.

Étrangement, moi qui aime « maîtriser » les sujets, je n’avais aucune connaissance en la matière sauf que j’avais lu que la montgolfière est une invention française (cocoricooo !) qui date du 18ème siècle (1782 pour être précise). On la doit à Joseph-Michel et Jacques Etienne Montgolfier qui effectuèrent leur premier vol en 1783 à Annonay, en Ardèche. Berceau historique de l’aérostation, il s’y tient encore chaque année la fête de l’air et de la Montgolfière.

A peine savais-je aussi que pour voler, des conditions météo stables sont nécessaires : peu de vent dans les basses couches, pas de risque d’orage ni de pluie.
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Le voyage en montgolfière commence tôt et il faudra mettre votre réveil avant l’aurore et bien avant le premier appel du muezzin (c’est certainement ça le plus difficile) mais la récompense, c’est d’être en mesure, à 500 mètres d’altitude voire au-delà, de pouvoir admirer le lever du soleil sur les contreforts de l’Atlas, les montagnes de Jbilet et les parcelles des champs cultivés qui se découpent telles des pièces de puzzle, tout en bas.

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Je ne sais pas pourquoi mais j’imaginais la nacelle minuscule. Celle dans laquelle je suis montée, pouvait pourtant contenir jusqu’à 16 personnes.
Durant mon expérience, j’appris qu’il y a 3 éléments importants qui composent une montgolfière : la nacelle justement dans laquelle il faut grimper (c’est le seul exercice physique que l’on vous demandera), l’enveloppe du ballon, et les brûleurs. Ce sont justement eux que le conducteur doit actionner régulièrement pour que le ballon se maintienne dans les airs à l’altitude voulue. Le gaz contenu dans ces derniers, c’est du propane. Les brûleurs actionnés, envoient de l’air chaud dans l’enveloppe afin de faire monter le ballon et c’est seulement lorsqu’ils sont actionnés que le silence du vol se rompt.

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La première étape, assez rapide, consiste donc à gonfler l’immense enveloppe de nylon puis à actionner le brûleur afin que l’enveloppe se redresse (environ une demi-heure).

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Une fois à bord, c’est à peine si vous vous rendez-compte du décollage tant il se fait lentement. Cette même impression que lorsque enfant, on lâche un ballon gonflé à l’hélium dans le ciel et qu’on le regarde s’échapper.

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Le voyage en montgolfière a ceci de charmant que vous ne savez jamais vraiment combien de temps vous allez voler.

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L’atterrissage se fait également tout en douceur, sans à coups. A peine sentez-vous la nacelle se poser alors que les véhicules suivent le ballon afin de venir vous récupérer ainsi que le matériel.

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Après le vol, la magie se prolonge avec un petit déjeuner berbère, pris sous la tente et la remise de votre certificat de vol.

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Un petit conseil : vous aussi laissez vous séduire par l’expérience et rappelez vous comme le disait Edgar Allan Poe, « qu’inventer une machine volante n’est rien, la construire est peu de choses, et que l’essayer, c’est tout. ».
A Marrakech, la référence en la matière c’est Ciel d’Afrique. Réservations au + 212 (0)524 43 28 43

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Comptez 2050 DH par personne (soit 189 €) pour un vol d’une heure ou choisissez le vol « Top VIP » vous donnant l’exclusivité de la nacelle (4920 DH/personne sur une base de 2 personnes) expérience certes coûteuse mais «so chic !».

Si vous souhaitez impressionner votre cher et tendre, faire une surprise à une future mariée ou un beau cadeau d’anniversaire, vous pourrez aussi vous laisser tenter par le vol Royal (5800 DH/personne sur une base de 2 personnes, tarif dégressif à partir du 3ème passager) qui vous permettra de petit-déjeuner au champagne dans le ciel de la ville ocre servie par un stewart dévoué à votre seul bien être.
Une demande en mariage en direct des nuages, quoi de plus romantique ?

Il ne suffit pas de rêver, vivez !
Cheers !

Ma IT-liste des bons plans Shopping et des sorties à Marrakech, part’5

WWW.GUILLAUMERIVIERE.COM

Grande nouvelle !

Les billets sur prose kawa concernant la ville rouge recevant un succès international, je suis en train de finaliser un ouvrage original qui trouvera sa place dans toutes les bonnes librairies dès septembre prochain en France, dans les pays francophones, au Maroc et je l’espère de tout cœur, dans votre bibliothèque.

En effet, j’ai concocté à l’attention toute particulière « des gazelles », surnom amical donné aux femmes par les marocains, un guide féminin pas comme les autres qui vous donnera toutes les clés pour organiser et optimiser votre séjour en fonction de vos envies, de vos moyens et de vos goûts.

A travers mon témoignage et mon expérience, je vous emmènerai avec moi dans les dédales de la ville,  vous embarquerai dans les petits ateliers, les hammams traditionnels et les adresses seules connues des Marrakchis. Je vous livrerai aussi mes conseils de préparation, mes bons plans, les pièges à éviter et vous initierai, grâce à mon éclairage pertinent et que j’espère drôle, aux particularités de la culture locale.

Seule, entre amies, en famille … Que vous vous y rendiez afin d’y découvrir la culture marocaine, vous y reposer, faire du shopping ou profiter de la vie nocturne, le guide des gazelles à Marrakech à paraître le 3 septembre 2015 aux Editions Privat est fait pour vous.

Il  vous met dans la confidence et vous offre les clés pour découvrir ou re-découvrir une ville qui saura forcément vous envoûter.

Un livre qui accueillera aussi le témoignage d’invités prestigieux tels le créateur marocain de haute couture Noureddine Amir, le célèbre DJ Claude Challe, le fondateur du Comptoir Darna Marcel Chiche, le gourmand Globe Cooker Fred Chesneau et le talentueux architecte d’intérieur Gil Baktiar.

En plus d’être un ouvrage mêlant récit, bonnes adresses et témoignages, les photos seront également mises à l’honneur puisque c’est Guillaume Rivière, « photographe reporter » exerçant notamment son talent pour le compte de magazines tels que M, Ideat, ou Géo qui m’a accompagné dans ce projet pour tenter de vous présenter Marrakech, telle que vous ne l’avez encore jamais vue.

En bref, un livre à glisser dans votre valise, qui vous promet, en plus d’être l’indispensable à la réussite de votre séjour, de vous révéler tout ce qu’un guide touristique ne vous dira jamais !

PS : En attendant la page FB du Guide des gazelles à Marrakech, n’hésitez pas à aller « liker » la page de Prose Kawa… Cheers !

yalah

D’une fleur de corail que le soleil arrose …

IMG_2037 On peut avoir voyagé à travers le monde et ne pas connaître les trésors de notre pays. Toulouse en est incontestablement un. Je n’y étais venue qu’une fois, malencontreusement, le 21 septembre 2001, le jour même de l’explosion de l’usine AZF. J’en étais donc repartie aussitôt, n’ayant même pas eu le temps de découvrir le cœur de la ville. Ces deux derniers jours m’ont permis de faire connaissance avec « Tolosa », comme on l’a prononce en occitan. Lâchée en plein cœur de la ville bâtie de briques ocres, je ressens la chaleur du midi et y découvre une cité où il semble bon vivre, emplie d’étudiants et de terrasses de cafés bondées. IMG_2036 De ma bien courte balade, et outre la gigantesque et imposante place du capitole je retiendrai trois adresses que j’ai envie de vous faire découvrir. IMG_2038 La première c’est le mythique bar à vins très côté « Au père Louis » qui s’enorgueillit d’avoir promu le quinquina, rue des Tourneurs. IMG_2046 Créé en 1889 par le bon vieux Louis Simorre, dont le portrait est toujours accroché dans la salle du fond au milieu des clichés vieillis des hôtes qui ont marqué les lieux, l’établissement est inscrit au patrimoine de la ville et a conservé pratiquement intacte sa décoration de bar à vins d’antan et ses peintures des années 40 dont on raconte qu’elles ont été réalisées pour alléger les ardoises de son auteur. La partie restaurant n’est ouverte que le midi mais possède, dit-on, l’une des meilleures cartes de la ville. AU PERE LOUIS 45, rue des Tourneurs – 31 000 Toulouse – Tél. : 05 61 21 33 45 Ouvert du lundi au samedi : 10h00 -15h30 – 18h00 – 23h00 Le deuxième établissement dont j’ai envie de vous parler c’est le Down Town. Accueillie par son charmant patron, Philippe, j’y ai déjeuné et j’ai été séduite par la qualité de sa cuisine « Street Food » totalement « Home Made ». Ici, tout est fait maison, jusqu’au ketchup. Une carte simple mais fraiche et gouteuse dans un établissement qui s’enorgueillit d’être aussi Coffee Shop, best place ever pour des cocktails à tomber que je reviendrai tester, et Music Bar de référence. J’y ai dégusté un dessert d’origine anglo saxonne qui m’a complètement mise à genou : le Banoffee. Gâteau monté sur un crumble de biscuits secs, nappé de banane, surmonté d’une fabuleuse et monstrueusement épaisse crème fouettée arrosée de caramel de lait, c’est un régal indécent. Au Down Town le soir, il parait que l’ambiance est festive et que c’est the place to be, j’y reviendrai assurément. IMG_2049 DOWNTOWN 8-10 Rue Tripière – 31000 TOULOUSE – Tél. : 05 61 22 16 16 Autre constat, très agréable pour les accrocs au shopping : Toulouse a su conserver la tradition des petites boutiques de créateurs et à l’inverse de certaines grandes agglomérations, n’est pas inondée de franchises que l’on retrouve partout. Le concept store Matière Grise en est le parfait exemple. IMG_2042 Bien plus qu’un simple laboratoire des tendances, on retrouve, ici, les nouveaux éditeurs du design français et scandinave, ainsi qu’une sélection d’objets du quotidien tout droit venus de la mouvance 50’s et les réalisations de créateurs locaux. Cet espace cosy où l’on vous accueille avec gentillesse propose également quelques produits « arty » qui transformeront par leur folie créative votre intérieur. Les ambiances évolueront au fil du temps et en fonction des nouvelles tendances. A noter, un autre espace, plus dédié à la maison a ouvert sur 180 m2 au 1, rue Baronie. IMG_2039 IMG_2040 MATIERE GRISE – CONCEPT STORE 4, rue genty magre – 31000 Toulouse – Tél. : 05 31 54 41 09 Emblème de la ville rose, je ne pouvais pas repartir enfin sans un petit sachet de violettes cristallisées dans le sucre de Toulouse. J’en glisserai une dans mon prochain verre de champagne car il parait que les deux se mélangent très bien. IMG_2014 IMG_2053 Enfin, à ma fille de huit ans, j’ai raconté mon séjour et présenté la ville grâce à un ouvrage intelligent et finement illustré qui raconte les péripéties de la petite souris Violette Mirgue : « Mystère et fromage à Toulouse ». IMG_2051 Dans cet album jeunesse dédié aux 3-8 ans et édité chez PRIVAT que vous pouvez acquérir ici, la petite souris doit retrouver le fromage disparu aux quatre coins de Toulouse et l’enfant est sollicité pour l’aider dans son enquête tout en découvrant avec elle et tous ses amis les lieux les plus secrets de la ville, à pied, en tram et même en avion. Un personnage attachant qui, dès le 21 mai prochain (ne ratez pas sa sortie), invitera vos enfants à découvrir les Pyrénées dans une nouvelle aventure intitulée « Un ours à réveiller dans les Pyrénées ». On dit souvent qu’on a jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression. IMG_2035 Toulouse, ses habitants, son enveloppe de briques rouges, sa belle Garonne à peine aperçue, m’ont donné envie d’en connaître plus. Je reviendrai dans la cité gasconne.

Ma It liste des bons plans shopping et des sorties à Marrakech, part’ 4

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Nouvelle année, nouveau séjour. Un voyage anniversaire puisque cela fait 10 ans que je me rends chaque année au mois de mars dans la ville ocre.

Les attentats qui ont touché Tunis la semaine passée, « refroidissent », je le sais, certains touristes qui méconnaissent le Maroc et qui craignent à priori pour leur sécurité. Malheureusement dans le contexte actuel, toutes les villes du monde peuvent être touchées par de tels évènements. Cependant, gardez en tête que Tunis se situe à 1765 kilomètres de Marrakech alors que Paris n’est qu’à 1482 kilomètres de la capitale de la Tunisie. Le climat à Marrakech est serein. Pas d’affolement donc. Tout comme moi, foncez donc profiter du printemps Marrakchi qui s’offre à vous.

Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler d’une très belle découverte (je garde les autres pour le livre guide que je suis en train de rédiger et dont je ne manquerai pas de vous parler très prochainement).

Dans un précédent billet, j’avais déjà évoqué la boutique ZWIN ZWIN située sur la place des Ferblantiers dans le quartier du Mellah.

Nathalie Rousseau, sa créatrice, dont on commence un peu partout à Paris et dans le monde à s’arracher les sacs, pochettes, cabas colorés et autres créations, a transféré dernièrement sa boutique à 5 minutes à pieds de la place Jemaa El Fna dans la fameuse rue dite « du Caoutchouc ».

Epaulée par Francis, son mari québécois, elle a inauguré il y peu, à tout juste 5 mètres de sa nouvelle boutique, un café restaurant, qui est en passe de devenir « the new place to be » de la Médina : le ZWIN ZWIN Café

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Visite guidée :

Après avoir monté quelques marches, vous arrivez dans un établissement sur 3 niveaux qui va vous surprendre tant vous n’auriez jamais pu imaginer son agencement de la rue.

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Au premier et au deuxième étage, des petits salons, tous différents et décorés avec goût, vous attendent.

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Au troisième, la  terrasse ultra lumineuse et cosy, vous invite à vous relaxer et à profiter d’une vue époustouflante sur l’Atlas et la Koutoubia.

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Outre la gentillesse du personnel et l’accueil chaleureux de Nathalie et Francis qui sont aux petits soins pour vous – et ce quasiment dans toute les langues– vous vous délectez de plats gourmands et joliment présentés préparés par la talentueuse et discrète cuisinière, Bouchra.

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Les propriétaires ont en effet misé sur une carte marocaine un peu revisitée, exclusivement composée de produits frais. Honnêtement (parole d’une ex fan des régimes) : tout est délicieux. De la large sélection des thés et Rooibos des maisons Mariages Frères et Palais des thés que Nathalie importe et qu’elle est la seule à mettre à sa carte dans la médina, en passant par les jus et autres smoothies concoctés avec les fruits de saison.

J’ai adoré  leurs assortiments de Briouates accompagné de salade marocaine (j’ai eu un crush pour celui au fromage fondant). La pastilla au poulet, réalisée dans les règles de l’art, est parfaite et le tajine de sardine délicieusement mijoté. Le couscous végétarien au blé complet est fondant, parfumé et tout aussi délicieux.

Que dire enfin du délice au citron, de la pastilla de fruits secs au chocolat ou encore (création maison) des briouates au Nutella ? (Oui, je suis gourmande, and so what ?)

Que ce soit pour siroter un verre, une pause déj’, une halte l’après-midi, un petit goûter ou pour dîner, TOUT est prétexte à venir et à revenir au ZWIN ZWIN Café y compris le Wi Fi gratuit.

J’ai eu le grand avantage de profiter des premiers rayons du soleil du matin sur la terrasse pour y prendre un petit déjeuner : un pur bonheur.

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J’oubliais : c’est aussi une bonne adresse parce que les prix sont plus que raisonnables : comptez 4,20 € pour une entrée ou un dessert, 7,90 € pour un plat.

Bonheur suprême : pour 2,80 € vous pouvez vous offrir un Virgin Mojito ou un jus d’Hibiscus Fraise (vous avez bien lu) dignes des meilleurs cocktails sans alcool des bars branchés.

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Bref, une adresse qui ne trompe pas et dont il faut profiter sans modération d’autant qu’en ce moment et pour une période limitée, Nathalie offre aux clients du ZWIN ZWIN Café une réduction de 15% sur les produits de sa boutique.

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Courrez y vite : la nouvelle collection estivale composée d’une multitude de tuniques colorées et brodées en voile de coton est sur les portants.  Mon petit doigt me dit que tout comme moi, vous ne pourrez pas faire autrement que de craquer pour l’une des dernières pièces de sa dernière et très belle collection de sacs et besaces très tendance.

Tout cela est donc très ZWIN ! (joli)

Cheers !

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